jeudi 14 décembre 2017

Vous êtes plutôt savates 2 doigts ou chaussures de sécurité?

   Tout en préparant les valises pour Cayenne, je m'informe sur ce qui nous y attend.
La saison des pluies a commencé et en Guyane quand il pleut c'est du sérieux.
D'ailleurs j'apporte nos savates 2 doigts ,comme on dit à la Réunion, parce que quand les rues sont inondées, yapamieux,
Résultat de recherche d'images pour "savate 2 doigts"

 quoique...à lire France Guyane, je ne suis pas bien sûre.

   "Ces inondations ont eu leur lot d'histoires insolites comme ce caïman (ci-dessous), aperçu au lotissement Jasmins, à Cayenne."

 


  Bon, allez, même pas peur!


samedi 4 novembre 2017

Nouveau départ

  Puisque je vous dis qu'on a envie d'ailleurs!

  Ça tombe bien parce qu'on y va...

  Et oui, les cartons s'amoncellent. Le déménagement est prévu pour vendredi.

  Une dernière mutation nous conduira... mais nous conduira où d'ailleurs?

  Un indice: nous en sommes revenus il y a 25 ans.
Eh bien, dites donc, ça ne nous rajeunit pas!

  Un deuxième indice?
Alors ce sera une chanson.


Chaud comme un nid 
Territoire de l'Inini, 
Tout est fini, 
S'enfonce vers l'infini, 
Tronc équarri 
Glisse sur le Maroni, 
Piroguiers aguerris, 

Chamane qui les guérit, 
Pluie sans répit 
Sur le rio Kamopi, 
Seins ronds comme des fruits, 
Nagent nus dans l'Inini. 
Danse et magie 
Ont duré toute la nuit. 
Cendres sur l'abatti 
Et l'avion est reparti. 
Dans la cabane pour la nuit 
Contre des perles et des fusils, 
Femmes livrées sans un bruit, 
Pluies sur l'abatti 



Dans le village endormi, 
Fièvres, maladies 
Et l'avion est reparti. 
Pleure et prie, 
Arawak, Guarini 
Guayara, Galibi 
Pour les indiens 
Du fond de leur sinistre nuit. 
C'est comme un bout 
De paradis 
Qui tient debout. 
Pleure et prie, 
Arawak, Guarini, 
Guayara, Galibi, 
Pour les indiens d'Amazonie...



Enfin, le Territoire de l'Inini, ce n'est pas exactement où on va, mais c'est juste à côté.

    Encore un indice?
Un film donc, "Jean Galmot, aventurier" d'Alain Maline, même si on n'a pas vraiment l'âme d'aventuriers.

    Vous préférez peut-être un livre?
Obia de Colin Niels, mais ça fait un petit peu peur, ou alors "Papillon" d'Henri Charrière, mais là, c'est vraiment trop facile.

  Je vous entends déjà.
      Euh, c'est une punition?

      Ben non, c'est un choix!

 Alors à bientôt.
 Atterrissage prévu début janvier.



vendredi 3 novembre 2017

Nos derniers jours à Saïgon

  Impensable de quitter le Vietnam sans passer encore quelques jours avec la famille.
D'ailleurs, nous n'avons pas eu le temps de visiter tous les oncles, cousins et beaucoup auraient aimé nous inviter.

  Le soir de notre retour, un cousin qui ne parle que vietnamien nous accueille. Les mots manquent mais les regards en disent long. Le vin que nous avons apporté de France plait beaucoup. Tout le monde trinque dans la joie.


Le lendemain, nous retournons au centre de Saïgon pour rapporter quelques souvenirs.

Scène de rue 



La poste centrale, témoignage de la période coloniale, tout comme la cathédrale.




Hiep, devant son coffee shop


En fin d'après-midi, nous allons saluer un oncle que nous n'avons pas encore rencontré, l'oncle Seven. Il habite à l'étage, au dessus de sa boutique de photocopies.




Pour notre dernière soirée, nous avons invité la famille dans un restaurant autour d'un hot pot, espèce de fondue vietnamienne aux saveurs parfois...surprenantes.






   Ainsi ce termine ce voyage qui nous a permis de faire connaissance avec la famille qui nous a si gentiment accueillis.
   Le lendemain, Hiep nous accompagnera à l'aéroport chargé de quantité de cadeaux, notamment une glacière pleine de fruits qui fera sensation auprès des douaniers à notre arrivée à Roissy. Quand ils me demanderont ce que c'est, je ne pourrai que leur dire le nom en vietnamien, des "Bon Bons" et c'est très bon!

vendredi 1 septembre 2017

Scènes de la vie quotidienne dans un village du Tonlé Sap

  Pour cette dernière journée au Cambodge, nous serons accompagnés par un Français installé ici et qui propose la visite d'un village sur pilotis un peu à l'écart des circuits touristiques.
  Kompong Khleang se situe à une cinquantaine de kilomètres de Siem Reap, sur les berges du Tonlé Sap, le plus grand réservoir d'eau douce d'Asie du sud-est.
  Ici la vie des habitants est rythmée par la crue du lac qui transforme les paysages et modifie l'activité des gens, qui alterne entre agriculture et pêche.

 


Un mauvais moment à passer pour ces cochons...





Le poisson sèche tout le long de la rue du village qui se termine en cul de sac. 
Plus loin, c'est le Tonlé Sap.




Maisons sur pilotis





Une pêcherie



Pour vivre sur ces maisons flottantes, il vaut mieux avoir le pied marin...



Ces hommes s'entraînent pour la prochaine fête de l'eau.



Les enfants, en uniforme, se rendent à l'école en barque.












lundi 10 juillet 2017

Quand y'en a plus, y en a Angkor.

Petite sélection-souvenir de notre deuxième jour de visite à Angkor.

   En route pour notre "grand circuit". Les temples sont un peu plus éloignés que ceux de la veille et donc nettement moins fréquentés. Pourtant, ils sont superbes.

Preah Khan







Neak Pean



Ta Som





Mébong Oriental, temple montagne




Banteay Srei,
le temple des femmes en grès rose
notre coup de coeur pour la délicatesse de ses sculptures.










   Après une journée bien remplie, chacun regagne ses pénates et nous notre hôtel.








   

Rencontre du jour...

  A 2 pas de la maison, devinez qui j'ai rencontré.   Un premier indice   Ces mèches ne vous disent rien? Vous ne reconnaissez pa...